SOPK : La connaissance c’est le pouvoir
Bonjour toi qui me lis, aujourd’hui j’aimerai te parler du Syndrome des ovaires polykystiques (pour changer ahah), et t’expliquer pourquoi, ce qui m’a « sauvé », c’est de le connaître et le comprendre.
J’ai toujours eu besoin de comprendre les choses pour les appliquer, à l’école, pas question d’apprendre par cœur sans comprendre ce que j’apprenais ! Alors, quand j’ai été diagnostiquée SOPK et que l’endocrinologue m’a renvoyé chez moi sans me donner d’explications, ça m’a pas mal perturbé. Elle m’a dit qu’elle n’était pas inquiète, mais ce n’est pas mon genre de la croire sur parole sans questionner encore plus en profondeur ce qu’il se passait dans mon corps.
Alors, comme toi surement, j’ai fait des recherches, mais c’était compliqué, car je devais remettre en ordre et en commun toutes les pièces du puzzle que je trouvais.
Comprendre mon SOPK, ses causes, ses origines, et les possibilités de mauvais diagnostique m’a permis de l’appréhender complétement. J’ai fais les test nécessaires pour vérifier que le diagnostique était bon, j’ai pris plusieurs avis.
J’ai appris comment la glycémie jouait un rôle sur mes hormones, et pourquoi il est donc crucial de la garder stable tout au long de la journée.
J’ai enquêté, avec l’aide d’une professionnelle, pour trouver la cause véritable de mon syndrome et donc agir en conséquence dessus.
Que ce serait-il passé si je n’avais pas chercher à comprendre tout ça ? Je n’aurai pas eu la motivation nécessaire pour atteindre un nouveau mode de vie sain qui supporte mon SOPK. Car c’est vrai, comment garder la motivation de faire du sport tous les jours (quand on aime pas ça), si on ne sait pas que tel ou tel exercice de renforcement musculaire peut améliorer sa résistance à l’insuline, ou même sa santé mentale ?
Cela aurait aussi joué sur mon moral, car à l’époque, je ne savais pas que mes envies irrésistibles de sucre venaient de mes hormones déréglées et non d’un manque de motivation de ma part. Si je n’avais pas su cela, j’aurai continué à culpabiliser encore des années dès que je mangeais un bout de chocolat.
BREF. Il n’y a pas 1000 façons de le dire : Comprendre son syndrome, c’est avoir les clés pour commencer à réduire ses symptômes.
C’est dans cette optique que j’ai décidé de créer la SOPK School , dont les portes ouvriront au mois de septembre. Il s’agit d’un espace en ligne dédié au SOPK avec des cours, des leçons vidéos, des exercices en pdf pour t’apprendre tout ce qu’il y à savoir sur le SOPK, et surtout pour t’aider à instaurer un mode de vie en adéquation avec celui-ci, afin de réussir, sur le long terme, à réduire tes symptômes. Ça t’intéresse ? Tu peux te pré-inscrire en cliquant ici. Rdv au mois de septembre pour la rentrée des classes ;)